Qui est le client puisque je suis consultante ? Pourquoi ?

Planification éolien en mer


QUI EST LE CLIENT PUISQUE JE SUIS CONSULTANTE? POURQUOI?
Dans ce dossier-ci "Hôtel-thalassothérapie des Nielles/Parc naturel marin normano-breton/Parc éolien en baie de Saint-Brieuc", je suis ma propre cliente.
En juin 2020, en tant que Présidente de l'association de protection de l'Environnement "Rothéneuf Environnement", avec  le procès-verbal du 15 juin 2020, j'ai validé le dossier des Nielles , m'engageant à porter la voix de la Nature devant le projet d'implantation d'un hôtel-thalassothérapie sur le littoral malouin avec destruction de falaise et rejets d'eaux polluées en mer.
En décembre 2020 j'ai démissionné de l'association et le nouveau Conseil d'Administration a décidé de ne plus protéger la Nature des Nielles. Je ne l'ai appris par la voix de leur conseil qu'en avril 2021. D'où mes actions depuis.
Ce dossier est donc à ma charge morale, financière et physique. 
Je suis ma propre cliente.

Saint-Malo, le projet de construction de l’hôtel-thalassothérapie des Nielles par la famille Raulic (€57 millions _ Groupe Raulic investissements) au vu de son atteinte durable à la biodiversité locale comme à celle de la baie du Mont Saint-Michel m’amène à déposer une plainte le 16 juin 2021 près le Tribunal Administratif de Rennes. 

Pendant la constitution de la plainte, je découvre l’existence du parc naturel marin normano-breton en cours d’élaboration et son périmètre qui englobe la baie de Saint-Malo. Je réalise que le projet de parc éolien en baie de Saint-Brieuc soit à l’intérieur du parc naturel marin normano-breton va impacter négativement la baie de Saint-Brieuc, la baie de Saint-Malo et la baie du Mont Saint-Michel : elles partagent la même biodiversité, la même ressource halieutique. 

L’appel conjoint de l’IPBES et du GIEC du 10 juin 2021 à penser ensemble les politiques de luttes contre les changements climatiques et pour la préservation de la biodiversité comme les tensions suscitées en mai 2021, par la modification des licences de pêches, entre Jersey et la France, m’amènent à agir en rédigeant la lettre d’allégation au Rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits de l’homme et de l’environnement.

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